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Un reportage d’Yves Pellisier et Guy Nevers (durée 7 minutes)
Une production France Télévisions-Thalassa
En France, nous avons aussi de nombreuses épaves qui attirent les pilleurs. En fait, seuls la profondeur et l’anonymat les protègent des vols. Tout cela, Michel L’Hour le sait parfaitement, tout comme il sait que les 130 000 plongeurs recensés dans l’Hexagone ne sont pas tous des pirates, loin s’en faut. Il n’empêche ! La tentation et l’appât du gain sont parfois les plus forts. Dans ce cas, le conservateur du patrimoine immergé est là pour faire respecter la loi et donc, le droit de propriété de l’Etat français sur tous ces trésors. Mais ce n’est là qu’un aspect du travail de cet archéologue au long cours. a la tête du Département des Recherches archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines, le DRaSSM, Michel L’Hour est le dépositaire d’un bien encore plus précieux qu’un banal lingot d’or : la mémoire de notre civilisation. Une mémoire disséminée sur le plancher des océans et dont nous sommes collectivement les propriétaires.
Un reportage de Franck Cuvelier et Jean-Christophe Chesneau (durée 13 minutes)
Une production Via Découvertes Production
Qu’est-ce qu’un chasseur de trésor ? En ce qui concerne Luc Heymans, c’est déjà un homme de mer qui a roulé sa bosse sur tous les océans. Bourlingueur curieux, Luc se met au service de chercheurs de trésors patentés. En leur compagnie, il sillonne les mers du Sud-est Asiatique, apprend le métier, se prend au jeu et glane les « tuyaux » des marins pêcheurs de rencontre qui ramènent, par accident, des porcelaines prometteuses dans leur filet. Des archivistes, rats de bibliothèque, épluchent pour lui les registres de naufrages, bordereaux d’assurances, correspondances diplomatiques… Luc intéresse des investisseurs, un peu joueurs, et affrète le « Siren », un chalutier transformé en navire archéologique. Des trésors, il en a trouvé un énorme, il y a 5 ans, dans les eaux indonésiennes : 500 000 pièces de porcelaine chinoise sur une épave du Xe siècle.
Aujourd’hui, après quatre ans de bras de fer avec le gouvernement indonésien, Luc obtient enfin le permis de vente de son trésor dont la moitié revient à l’état indonésien, 20% à son associé local et 30 % dans son escarcelle. Juste de quoi repartir en mer à la recherche d’un nouveau trésor…
Un reportage de Régis Michel, Christian Auxemery (durée 45 minutes)
Une production Pacifico Island Productions
Aventures, mystères, fortune, prison, politique, escroqueries, tout y est dans cette histoire rocambolesque ! Un «polar maritime» pourtant bien réel.
Le Polluce fait naufrage au large de l’île d’Elbe, à la fin du XIXe siècle. Il transporte à bord les bijoux, pièces d’or et objets précieux de quelques comtes et duchesses de différents pays d’Europe.
Un trésor qui repose paisiblement dans les eaux italiennes, jusqu’au jour récent où quelques copains anglais, bien malins, viennent le dérober, au nez et à la barbe des italiens.
Commence alors l’affaire du Polluce, où Anglais, Italiens, et Français se tirent dans les pattes, dentre coup fourrés en rebondissements…
Un reportage de Gilles Ragris et Laurent Desvaux (durée 21 minutes)
Une production Via Découvertes Production
Cette histoire commence en 2007 par une annonce fracassante : une société américaine de chercheurs de trésors déclare avoir trouvé un fabuleux butin. Des centaines de milliers de pièces d’or et d’argent. Où cela ? Mystère. De quelle épave est tiré ce magot ? Mystère encore. Mais une chose est sûre : les bateaux d’Odyssey, à cette époque, naviguaient au large des côtes de l’Andalousie. Vol, pillage, découverte légale ? Ce qui est sûr, c’est que l’Espagne porte plainte, et affirme que ces pièces proviennent d’un navire espagnol coulé il y a deux siècles. Le trésor doit donc revenir à l’Espagne. L’affaire atterrit alors devant un tribunal américain. Nous sommes allés à la rencontre de tous les protagonistes de cette affaire et retrouvé les témoins pour remonter jusqu’à cette spectaculaire bataille navale de 1804.
Un reportage de Stéphanie Brabant, Carolina De Salvo, Stéphane Bodenne, Olivier Bonnet, Patrick Abijou et Christophe Millet (durée 20')
Une production France Télévisions-Thalassa
Au croisement des grandes routes maritimes depuis l’antiquité, l’île a vu sombrer de nombreux navires marchands avec leurs cargaisons d’or, d’ivoire, d’amphores de vins, de blé. Parfois, avec d’autres richesses bien plus précieuses encore.
En Sicile, pas besoin de grands moyens pour trouver des trésors. Tout près des côtes, par 5 mètres de fond seulement, les pilleurs d’épaves remontent des amphores romaines et étrusques. Un butin qu’ils écoulent sans problème sur le marché clandestin à 600 euros pièce. Une destruction irréversible pour les archéologues.
La Sicile est la seule région italienne à posséder une surintendance de la mer, chargée d’évaluer et de protéger les sites. Pour la police maritime, difficile de surveiller 1200 km de côtes riches de 700 sites archéologiques.
Une chose est sûre : du petit trafiquant d’amphore au grand marchand d’art qui ne connaît pas la provenance des objets qu’il vend, le trafic d’antiquité bat son plein en Italie. Comment le réprimer, comment surveiller, comment contrôler ? Enquête en eaux troubles sur ce commerce criminel qui rapporterait autant que le trafic de drogues ou d’armes.
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