Quando se fala de ‘INTELIGÊNCIA’ ainda se pode aceitar o seguinte:
--- “le problème de la détermination exacte de la complexité algorithmique d’un objet est un problème logique le plus souvent indécidable. En informatique théorique, en revanche, des définitions précises de la complexité ont été formulées pour les algorithmes
et pour les objets formels ; ainsi, le contenu en information algorithmique d’un objet (appelé aussi ‘complexité de Kolgomorov’) est la taille du plus petit programme (pour un ordinateur général) susceptible de produire l’objet.” (J.-P. Delahaye, 1999,
Belin, pp.65-72). Ainda se pode imaginar essa redução informática, que afirma que ‘complexidade’ é “o tamanho do menor programa (algoritmo) para um computador de referência (chamado de máquina universal) capaz de descrever completamente um objeto” (J.-P.
Delahaye, 1999, Belin: Paris, pp.65-72).
A seguir à complexidade quântica que Einstein, Podolsky e Rosen propuseram em 1935, seguiram-se novas actualizações. Por exemplo, as de John Bell, Alain Aspect, David Mermin, Asher Peres, Thomas Vidick, Henry Yuen, Zhengfeng Ji, Arnand Natarajan, John Wright,
Alain Connes, e Boris Tsirelson. Concretamente,
val* (Â) = sup pÎCq (n,k) Sµ (x,y) S x,y µ (x,y) Sa,b D (x,y) p abxy
|E (a,b) – E (a,b’) + E (a’,b) + E (a’,b’)|£ 2
p(a,b|x,y) = [ ꞹ | Ax a Ä By b |Axa Ä Byb | ꞹ ]
e (Â’n’ ½) ³ max {e (Â2n, ½), 22W(n)}
Em suma, [MIP* = RE > MIP = NEXP > IP = PSPACE > NP] (Thomas Vidick, 2021, “Complexité et Intrication Quantique”,
La Recherche, avril-juin 2021, pp.102-109).
Porém, quando se fala em ‘CONSCIÊNCIA’ já não se pode aceitar essa redução algorítmica, e o debate inicia-se a partir da seguinte asserção:
--- “C’est seulement de ce quatrième niveau (le niveau : «voici comment je vous vois me voir vous voir me voir» ; le niveau supérieure à celui de «la classe des classes que ne sont des membres d’elles-mêmes») que l’on peut s’apercevoir que la réalité n’est
pas quelque chose d’objectif, d’inaltérable, quelque chose «là-bas en dehors de moi», comportant un sens faste ou néfaste pour notre survie, mais qu’à tous égards, la réalité, c’est expérience subjective que nous faisons de l’existence ; la réalité est le
schème que nous construisons pour designer quelque chose qui, selon toutes probabilités, échappe totalement à une vérification humaine objective » (Paul Watzalawick,
et alli, 1972(1967), “Une logique de la communication », Seuil : Paris, p.271).
Pedro Manuel-Cardoso
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